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Des handicapés au service des handicapés

Merci du fond du coeur à toute l'équipe de la F.N.V.R.

« Mon fils de 22 ans, Davy, revenait tranquillement de son travail, au volant de sa petite voiture. En face, un automobiliste de 80 ans, avec une puissante voiture a doublé deux véhicules et une caravane en empiétant sur le côté gauche de la chaussée après avoir franchi une ligne blanche continue.

Il n'a pas pu se rabattre et le choc avec la voiture de mon fils a été effroyable, le moteur a été arraché. Il a fallu plus de 4 heures aux pompiers pour désincarcérer mon fils qui était inconscient. Après un transport en hélicoptère et plus d'un mois dans le coma dans un service de neurologie, il a enfin repris connaissance.

Sans l'intervention efficace et rapide de la F.N.V.R. mon fils Davy serait toujours dans un centre de soins pour handicapés
Après plus d'une année dans un centre de rééducation pour les traumatisés crâniens, il présentait des séquelles graves et irréversibles suite à son traumatisme crânien. Il ne parle plus, ne peut s'alimenter seul, a perdu la mémoire et son côté gauche est totalement paralysé.

Trois années après l'accident, malgré l'avis de certains médecins, je souhaitais que mon fils revienne à la maison afin de pouvoir me consacrer à lui, de l'aider à retrouver son environnement familier, sa petite soeur, sa chambre...

Mais l'assureur adverse ne voulait pas de cette solution estimant qu'il était préférable pour mon fils de rester dans un centre adapté à son handicap, et pour le restant de sa vie.

J'étais totalement désemparé, ne sachant quelle solution adopter.
Devant ma grande détresse, un ami m'a conseillé de contacter la F.N.V.R.
Immédiatement, tout a changé.

Un avocat spécialisé dans le dommage corporel, recommandé par la F.N.V.R. a pris contact avec le régleur de la compagnie d'assurance du responsable de l'accident pour lui signaler qu'il prenait en charge le dossier de Davy.
Tout est allé très vite, comme par miracle : expertises médicales, venue d'un architecte à la maison pour évaluer les travaux d'aménagement indispensables, versement d'une provision substantielle pour les travaux, prise en charge de la tierce personne.

Aujourd'hui, notre fils est près de nous, certes dans son monde à lui, mais nous arrivons à partager en famille des moments d'une grande intensité et nous arrivons à communiquer par d'autres moyens que la parole. Sans l'intervention efficace et rapide de la F.N.V.R. mon fils Davy serait toujours dans un centre de soins pour handicapés, seul, loin de sa famille, mais je n'ose même pas y penser. Je n'oublierai jamais cette lueur d'espoir que j'ai vu dans ses yeux quand Davy a franchi le seuil de sa maison, après plusieurs années d'éloignement. Pour tout cela, encore un très grand merci pour toute l'équipe de la F.N.V.R.»


L'assurance ne voulait pas indemniser mon préjudice professionnel

« Suite à un accident de voiture, je suis resté paralysé du côté droit.

Le conducteur adverse, responsable de l'accident, était assuré et il en était de même pour moi. Rapidement, une personne de mon assurance est venue me voir et m'a proposé de prendre en charge toutes les démarches.

Très occupé par les soins quotidiens et les séances de rééducation, j'ai trouvé cette proposition très intéressante, bien que plusieurs personnes m'aient mis en garde sur le risque « de laisser les assurances s'arranger entre elles ».
J'ai donc passé plusieurs expertises médicales, tout d'abord avec le médecin de ma propre assurance. J'ai trouvé cela bizarre, mais l'assureur m'a expliqué, qu'en raison de conventions entre assurances, la première expertise était faite par l'assurance du blessé.

Ensuite, les expertises ont été faites par le médecin de l'assurance adverse, en présence du médecin de mon assurance.
Ces deux médecins semblaient bien se connaître car ils se tutoyaient.

Après la dernière expertise médicale au cours de laquelle la consolidation a été décidée, est venu le temps de la proposition d'indemnisation.
Et là tout a commencé à se compliquer.
Suite à un accident de voiture, je suis resté paralysé du côté droit

Tout d'abord, à la lecture du rapport d'expertise, je me suis aperçu que toutes mes doléances n'avaient pas été prises en compte.
Par exemple, aucune mention concernant la pratique du ski, du tennis, du vélo, des randonnées en famille, autant d'occupations qui comptaient beaucoup pour moi.

Ensuite et surtout, ces deux médecins évoquaient une reprise possible de mon activité professionnelle antérieure, activité pourtant totalement incompatible avec mon handicap.
Selon le médecin de l'assurance adverse «je ne pourrai plus aller sur les chantiers mais je devrai trouver une place dans les bureaux, ou comme magasinier avec un ordinateur ».
Je pense qu'ils «se foutaient réellement de moi.. ».

J'ai contacté la F.N.V.R. dont j'avais parcouru le site internet, à plusieurs reprises, pour avoir des conseils.
La F.N.V.R. a pris en charge mon dossier tout en me précisant qu'il aurait été préférable de solliciter l'association avant l'expertise médicale définitive.
Un médecin expert de la F.N.V.R. aurait pu m'assister et défendre mes intérêts face au médecin expert de la compagnie d'assurance adverse.

Rapidement, un avocat spécialisé dans le dommage corporel, recommandé par la F.N.V.R. a pris en charge mon dossier et entamé la négociation avec le régleur de l'assurance adverse.
L'avocat a obtenu la prise en compte de mes préjudices d'agrément avec les témoignages sur mes activités physiques antérieures qu'il m'a demandé de fournir.

Surtout, cet avocat a réussi à obtenir la prise en compte de mon préjudice professionnel à sa juste valeur, ce qui était primordial pour moi.

Si j'ai un seul conseil a donné à toutes les victimes d'accidents de la route, c'est de ne jamais faire confiance aux compagnies d'assurances, même à sa propre compagnie d'assurance. Ne restait jamais seul dans le monde de l'assurance que vous ne connaissez pas.
Je ne peux que remercier la F.N.V.R. pour ses capacités d'écoute et de réaction, son grand professionnalisme et la compétence de ses avocats.»


Vous avez perdu le bras gauche, ce n'est pas très grave, il vous reste toujours le droit !

« Circulant à bord de mon camping-car, la vitre baissée et le bras gauche à la portière, j'ai été percuté, par la droite, par une voiture qui n'a pas respecté un stop.
La prise en charge a été parfaite, dans tous les domaines

Le camping-car a basculé sur le côté gauche et mon bras gauche a été écrasé sous le véhicule.

Malgré une prise en charge chirurgicale parfaite, au niveau d'un grand C.H.U. il a persisté ce que l'on appelle « un plexus brachial ».
C'est-à-dire que les nerfs ont été sectionnés, les muscles ne fonctionnent plus et mon bras gauche reste ballant, inutilisable ( comme un humoriste bien connu ).

N'ayant jamais eu d'accident auparavant, mais méfiant, par nature, envers les compagnies d'assurances, j'ai demandé à ma fille, d'aller prendre des renseignements sur internet.
Après avoir visité plusieurs sites d'associations de défense de victimes de la route, ma fille m'a parlé de la F.N.V.R. dont le Président, le Docteur COURTOIS, intervient sur TF1, le vendredi soir, dans l'émission Sans Aucun Doute.

J'ai contacté la F.N.V.R. et j'ai eu la grande chance d'avoir directement le Docteur COURTOIS au téléphone.
Après un entretien très explicite, j'ai décidé de confier la défense de mes intérêts à la F.N.V.R. et je ne peux que m'en réjouir.

La prise en charge a été parfaite, dans tous les domaines.

Sur le plan médical :
  • aide à la constitution de mon dossier médical
  • récupération auprès des établissements de soins du dossier avant chaque expertise
  • conseils pour préparer chaque réunion d'expertise
  • obtention d'un rapport d’expertise définitif prenant en compte l'intégralité de tous mes préjudices
Sur le plan juridique : un avocat spécialisé dans la défense des victimes de la route, intervenant pour la F.N.V.R. a pris en charge mon dossier.
L'avocat a fait preuve d'un grand professionnaliste et d'une grande compétence
  • obtention de provisions régulières en fonction de mes besoins
  • assistance à la dernière expertise médicale de consolidation
  • disponibilité de tout son cabinet à chacune de mes demandes de renseignement ou d'intervention
Par contre, il n'a pas été possible de trouver un accord amiable avec la compagnie d'assurance adverse, sur le montant de l'indemnisation.
L'avocat m'a alors indiqué qu'il estimait nécessaire d'engager une procédure devant le Tribunal de Grande Instance pour demander au Juge «de trancher» entre la proposition faite par l'assurance et sa propre évaluation de mon indemnisation.
J'ai suivi ses conseils et ne le regrette pas.

En effet, le T.G.I. m'a accordé :30% de plus que ce que proposait la compagnie d'assurance.

Il est évident que, seul, j'aurais accepté la somme proposée par l'assurance adverse n'ayant aucune compétence pour évaluer la juste valeur de mes préjudices.
Victimes d'accidents corporels, n'hésitez pas à contacter la F.N.V.R. car vous ne ferez pas «le poids» face à la compagnie d'assurance adverse dont le seul but, dans la quasi-totalité des cas, est de vous donner le moins possible.

De plus, la F.N.V.R. s'occupant de toutes les démarches matérielles, vous pouvez vous consacrer pleinement aux soins et à la rééducation pour récupérer plus vite.»


Percuté par un char AMX du 1" régiment étranger de cavalerie

« J'étais passager avant droit d'une voiture qui me conduisait à l'hôpital pour passer une radiographie. Notre véhicule est entré en collision avec un char AMX du 1" régiment étranger de cavalerie. L'engin blindé effectuait un exercice de manoeuvre en conditions réelles.

La collision a eu lieu à un croisement entre un chemin vicinal et une route départementale, le char n'ayant pas respecté le « cédez le passage ».
C'était sur une longue ligne droite, sur notre gauche, sortant d'un chemin masqué par une haie, j'ai vu apparaître un canon, puis une tourelle, puis un char entier qui nous a percuté puis roulé dessus, dans un vacarme assourdissant.
Grâce au Docteur COURTOIS [...], j'ai pu obtenir le déblocage d'une provision de 28 000 € par le Ministère de la Défense

Polytraumatisé, j'ai été transporté à l'hôpital d'Orange puis par hélicoptère, à Marseille, dans un service de réanimation.
Après deux arrêts cardiaques, plusieurs mois de coma, le diagnostic est tombé : tétraplégique. Plusieurs mois après cet accident, peu banal, j'ai décidé de rentrer à mon domicile qui, heureusement, est un gîte que j'avais aménagé pour recevoir des personnes valides handicapées.

Cependant, malgré de nombreuses démarches auprès de l'armée, rien de bougeait.

Certes, on m'avait bien expliqué que la loi Badinter serait appliquée et que je serai indemnisé. Mais quand, voila tout le problème.

Huit mois après mon accident, je n'avais toujours pas touché un seul centime mais je devais, néanmoins, faire face à toutes tes dépenses imputables à mon état.

Un médecin désigné par l'armée était effectivement venu me voir à mon domicile.

Mais, sans même prendre la peine de m'examiner, il m'avait déclaré « ce n'est pas un cas pour moi car vous être trop gravement blessé »

Par pur hasard, j'ai cherché sur internet et j'ai trouvé le site de la F.N.V.R. particulièrement clair et détaillé.
J'ai décidé de contacter cette association et j'ai eu la chance de converser avec le Docteur COURTOIS, son Président.
Il m'a proposé de prendre en charge mon dossier, estimant que l'attitude de l'armée dans cette affaire était absolument scandaleuse.

Grâce au Docteur COURTOIS qui a sollicité l'intervention de l'équipe de l'émission Sans Aucun Doute, sur TF1, dans laquelle il intervient en qualité d'expert médical , j'ai pu obtenir le déblocage d'une provision de 28 000 € par le Ministère de la Défense.
Maintenant, une expertise médicale vient d'être programmée pour début juin, dans un hôpital militaire de Marseille.

La F.N.V.R., par l'intermédiaire de ses médecins experts, va être maintenant à mes côtés pour toutes les expertises médicales afin de faire une juste évaluation de tous mes préjudices.
Une expertise situationnelle est aussi prévue à mon domicile afin de déterminer les différents aménagements rendus nécessaires par mon handicap.

J'ai demandé aussi l'intervention d'un des avocats de la F.N.V.R. spécialisé dans le dommage corporel car je ne me sens pas de taille à lutter contre l'armée qui dans cette triste affaire a bien porté son nom de « grande muette ».
Comme je le dis au Docteur COURTOIS, chaque fois que je le rencontre, il a. été « un rayon de lumière » dans les ténèbres dans lesquelles j'étais plongé depuis qu'un char AMX a écrasé ma voiture sur une route près d'Orange.»


Paralysée des deux jambes et du bras droit ...

« Ma mère a été renversée par une voiture alors qu'elle circulait à vélo pour se rendre à son travail.

Paralysée des deux jambes et du bras droit, elle est restée pendant plus d'une année dans un Centre de Rééducation.
Sincèrement,
je pensais que l'assurance de ma mère faisait le nécessaire
Pendant plusieurs mois, nous n'avons pu obtenu obtenir de provisions financières, ni même de visite d'un médecin expert de la Compagnie d'Assurance de l'automobiliste.
Sincèrement, je pensais que l'assurance de ma mère faisait le nécessaire.
Les médecins du Centre de Rééducation prévoyant la sortie prochaine de ma mère et n'ayant aucune ressource pour la placer dans un établissement correct, nous avons fait appel à la F.N.V.R. pour nous aider dans nos démarches.
Très rapidement une expertise médicale a été organisée avec la Compagnie d'Assurance adverse.
Un médecin de la F.N.V.R. était avec nous au cours de cette expertise pour défendre nos intérêts.
Un des avocats recommandé par la F.N.V.R. a obtenu une provision substantielle pour trouver un logement adapté pour ma mère.
Les différents préjudices de ma mère ont été correctement évalués avec l'aide de la F.N.V.R. qui a directement négocié avec la Compagnie d'Assurance adverse et ma mère a commencé sa nouvelle vie sans se soucier des problèmes financiers.»


Mon frère a perdu l'usage des deux jambes

« Suite à un accident de moto survenu tout seul, mon frère a perdu l'usage des deux jambes.

Après un séjour dans un hôpital parisien et dans un grand Centre de Rééducation, se posa le problème d'un retour à son domicile ou dans un établissement adapté à son handicap.
N'ayant pas de tiers responsable, nous ne pouvions compter que sur son assurance responsabilité conducteur.
... faire doubler le montant total de l'indemnisation ...
Nous ne comprenions pas bien les différentes clauses qui déterminaient le plafond de l'indemnisation.
Devant l'impossibilité de nous défendre seuls devant la Compagnie d'Assurance qui ne nous donnait aucune explication, nous avons pris contact avec la F.N.V.R. Grâce à l'intervention d'un médecin de la F.N.V.R. qui a assisté mon frère au cours de l'expertise médicale, il a été décidé que mon frère avait besoin d'une tierce personne pendant 4 heures chaque jour. Cette disposition, que nous ne connaissions pas mais qui était prévu dans notre contrat d'assurance, nous a permis de faire marcher la clause qui permettait de faire doubler le montant total de l'indemnisation.
Sans l'aide efficace de la F.N.V.R. qui a mis à notre disposition ses médecins et ses juristes, nous n'aurions pas connu l'existence de cette clause et mon frère aurait été indemnisé de moitié.»


La voiture a percuté un arbre à la sortie d'un virage

« Mon fils de 17 ans est parti un soir avec des copains pour fêter l'anniversaire de l'un d'entre eux.
Sur le chemin du retour, la voiture a percuté un arbre à la sortie d'un virage.
Deux des occupants ont été tués et mon fils est resté tétraplégique.
Toute notre vie a basculé en une fraction de seconde. Pendant de nombreux mois, mon fils est resté dans un Centre de Rééducation, puis nous avons commencé à le ramener à la maison pour le week-end.
Toute notre vie a basculé en une fraction de seconde.
Malheureusement, rien dans notre maison n'était prévu pour recevoir une personne handicapée.
Désespérés, nous avons demandé à la F.N.V.R. de nous conseiller et de nous assister dans nos démarches auprès de la Compagnie d'Assurance du conducteur du véhicule accidenté.
La F.N.V.R. s'est occupé de tout, du début à la fin.
Un médecin diligenté par la F.N.V.R. a assisté notre fils au cours de chacune des réunions d'expertise pour obtenir la meilleure évaluation possible de ses séquelles, en particulier au moment de la consolidation. Un des avocats recommndé par la F.N.V.R. a pris en charge toutes les démarches auprès de la Compagnie d'Assurance pour obtenir des provisions en fonction de nos besoins.
Avant le retour de notre fils à notre domicile, tout a été discuté, point par point, l'aménagement de la maison ( terrasse, véranda, ascenseur, chambre, salle de bain, climatisation ....) de la voiture ...
Il a même été obtenu de nombreuses prestations auxquelles nous ne pensions même pas.
Grâce à la F.N.V.R. qui a pris en charge tout le côté matériel, nous avons pu nous consacrer totalement à notre fils, lui parler, le toucher et constater les moindres progrès qu'il faisait. Nous tenions à remercier la F.N.V.R. pour son engagement à nos côtés suite à ce drame qui peut malheureusement arriver à chaque famille.»


Si je peux vous donner un conseil ...

« J'ai eu un banal accident de voiture, un choc latéral avec une camionnette qui n'a pas respecté une priorité à droite.
Fracture du fémur - Ostéosynthèse - Rééducation - Ablation du matériel.

Mon assurance a fourni un médecin expert qui m'a assisté au cours des expertises.
On m'a parlé d'I.T.T., d'I.P.P., de pretium doloris, de préjudice d'agrément ...
Je ne connaissais rien à ce jargon et faisais confiance à ma Compagnie d'Assurance qui était chargé de défendre au mieux mes intérêts.
On se foutait de moi !
Un jour, j'ai reçu une lettre de mon assurance m'indiquant le montant financier global de mon indemnisation.
On se foutait de moi !
Compte tenu de mes mois de souffrance, de la durée de mon arrêt de travail avec perte de salaire, de mes difficultés à marcher normalement et à pratiquer les sports que je faisais avant, la somme proposée était plus que modeste.
Avant de signer la quittance, j'ai préféré demander l'avis de la F.N.V.R.
Bien m'en a pris, car après étude de mon dossier, il m'a été précisé qu'il était possible d'obtenir d'avantage, mais que la marge de manœuvre serait limitée car il n'était plus possible d'agir sur les conclusions du rapport d'expertise. Néanmoins, par une simple discussion d'un avocat recommandé par la F.N.V.R. directement avec la Compagnie d'Assurance adverse, j'ai obtenu 3 fois plus que la somme proposée initialement.
Si je peux vous donner un conseil, n'attendez pas votre consolidation et donc l'obtention d'un rapport médical d'expertise définitif pour faire appel à une Association.
Faites vous aider immédiatement après l'accident.»


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